de Becca Fitzpatrick
nombre de pages : 350
difficulté de lecture : 2/3
résumé
Dans la ville brumeuse de Portland, Nora tente de mener une vie ordinaire depuis la mort violente de son père. Lors d'un cours de biologie, elle fait la connaissance de Patch. Il est séduisant, mystérieux, toutes les filles en sont folles, mais Nora est perplexe. Comment Patch peut-il en savoir autant sur son compte ? Pourquoi est-il toujours sur sa route quand elle cherche à l'éviter ? Sans le savoir, Nora se retrouve au beau milieu d'un combat séculaire agitant des êtres dont elle ne soupçonnait même pas l'existence. Et en tombant amoureuse de Patch, elle va découvrir que la passion peut être fatale. Premier roman de Becca Fitzpatrick, Hush, Hush a connu un succès immédiat, entrant dès la première semaine sur les listes des best-sellers. Vendue dans plus de trente pays, cette histoire d'anges déchus est devenue un véritable phénomène littéraire.
mon avis
Saga qui a fait du bruit, Hush Hush s'est retrouvé sur les rayonnages de la médiathèque, je ne sais comment. (disons que les best-sellers y sont rares!). Bref, j'ai engagé la lecture avec en tête l'avis plutôt négatif de Book&vous, et pas franchement d'attentes.
Hum...Hush Hush réussit juste à donner l'impression d'un mauvais remake de Twilight. (Déjà le prénom "Becca" de l'auteur m'a fait repenser à cette magnifique parodie qu'est "Mors-moi sans hésitation"). L'histoire d'amour démarre avec panache, promet beaucoup pour finalement décevoir. Aux deux tiers du roman, je me suis demandé comment quelqu'un peut avalé une intrigue aussi...plate.
Le roman est simplement à l'image de sa couverture : gris, avec une silhouette intrigante, belle, dangereuse, mais qui reste une silhouette.
Je comprends les avis négatifs, comme je partage les avis positifs. Je ne sais pas sur quel pied danser. Le dénouement ne fait que confirmer cet aspect "remake de Twilight". Le même schéma, un dénouement semblable...un peu d'originalité ne serait pas de trop.
J'ai cependant été surprise à plusieurs reprises, et cela fait très plaisir. Notamment sur "l'élément de résolution" (voyez je me souviens de mes cours!).
L'emprunter me semble donc la meilleure des solutions.
N'ayez pas peur, derrière ces chroniques négatives se cache juste de la déception d'un manque de profondeur pour ce roman au fond intéressant.
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